Cahier de déculpabilisations.
Construire une pensée dans l'ombre du péché, le mal est là.
Avec comme limite à ne pas dépasser les sept capitaux, la culpabilisation est permanente.
Se dégager de cette limite, ce "cahier de déculpabilisations" témoigne de cette intention.
A la plume sergent major, le support est un cahier d'écolier. L'écriture y est automatique directe et sans repentir.
Sept paragraphes intitulés "déculpabilisation n°1 à 7" et d'un long "post-scriptum" se développe sur 47 doubles pages où les mots, la calligraphie, le graphisme et les accidents d'écriture se combinent comme une suite d'autant de logogrammes... déculpabilisants.
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